un coeur a prendre

Elle est belle, elle est fraiche ma Piwyz !
Venez la conquérir, c'est une belle femme
Avec elle vous vous sentirez secoué comme un wiiz,
De la vie elle vous redonnera la flamme ...

oh l'mec ! dans la d'mie heure il sort un ptit paragraphe en rime !
Moi j'suis hors course, bonne chance les amis

Parmis les champs de riz, j'ai découvert une rose
Qui me demanda de lui écrire en prose
Ne pouvant résister a cette fleur
Je m'y attela avec tendresse et douceur
Pour lui montrer tout l'amour enfoui dans mon coeur
Et ainsi lui dire qu'auprès d'elle, je ne ressens que du bonheur.

Mdr and vincento is the wiiiiinner xD

On me dit perdant, je me sens confiant,
Dans son cœur le choix est fait, je le sais.
Même si je ne suis pas le promit à ses rêves,
Je continuerais de brandir mon glaive.
Son amour est pour moi, la plus grande récompense,
Pour moi chaque son de sa voix, est comme une danse.
Je t'en pris ma Piwyz, prend ton arc et vise.
Touche moi le coeur, tire ... je n'ai pas peur.

Depuis notre rencontre dans les champs de riz,
Mes reves sont hantés par toi chaque nuit.
Ton doux regard posé sur moi
Me donne envie de t'enlacer dans mes bras

Ils sont serieux ! :O

Au faite, ya une limite de temps à ton "coeur à prendre" ? XD

hm.. Interessant

Piwiz, ma grosse bite est prête;
Dans ta bouche gicler je m'apprête;
Je te viole le cul sans relâche même si tu me cries : "arrête !";
Je n'hésiterais pas à te prostituer pour quelques barrettes

Oh, Piwiz, tu sais que je suis tout dur ?
Prêt à te prendre comme une traînée contre le mur ?
Mon expérience sexuelle équivaut celle de plusieurs hommes mûrs;
Au lit je suis une bête, t'en redemandes car j'assure

J'espère que mes rimes te font mouiller;
Dépêche-toi d'accepter ma demande ma bite risque de rouiller;
Ce serait dommageable car j'ai vraiment envie de te dérouiller;
Peu importe l'endroit, je te nique même dans un poulailler

Voilà, on se donne rdv à l'église, je pense avoir été plus poétique que les autres losers au-dessus. Je me suis senti possédé et transcendé par feu Baudelaire.